Par où passe ma série bingée avant-hier ?

Spécialiste des usages et des fonctions « d’un numérique s’inscrivant dans les limites planétaires », l’association Limites Numériques organise des balades numériques pour visibiliser les infrastructures nécessaires à nos usages dématérialisés. Next en a suivi une.
Un après-midi d’hiver, enfourchant notre fidèle destrier à pédales, nous avons rejoint un groupe de designers et de curieux du numérique qui partait en balade dans le sud de Paris. Guidés par Thomas Thibault, co-président de l’association Le Mouton numérique et du projet de recherche Limites Numériques, nous avons arpenté les rues du 13ᵉ arrondissement de la capitale.
Limites Numériques s’intéresse « aux choix de conception, aux usages et aux fonctions d’un numérique s’inscrivant dans les limites planétaires ». Parmi ses actions de sensibilisation aux liens entre usages numériques et changement climatique, le projet propose des balades numériques un peu partout en France, et partage ses outils sur cette page – ici, un exemple de promenade à la recherche des infrastructures implantées à Chambéry.
Le but : apprendre, avec un groupe aux connaissances variées sur le sujet, à détecter dans l’espace public les traces des infrastructures numériques par lesquelles circulent les données que nous échangeons en ligne à longueur de journée.