Ce n'est pas le chemin qui est difficile, c'est le difficile qui est le chemin

Mercredi 12 mars, c’était une journée réunion d’équipe pour Next, à Nanterre, dans les locaux de moji. Mais ce même mercredi, c’était aussi une soirée TupperVIM au même endroit. Qu’à cela ne tienne, j’ai décidé de prolonger le séjour parisien pour rester sur place. Il faut dire que le programme faisait envie.
Commençons par des présentations : Vim est un éditeur de texte « hautement configurable […] Il s’agit d’une version améliorée de l’éditeur vi distribuée avec la plupart des systèmes UNIX », peut-on lire sur le site officiel. Vim existe depuis plus de 20 ans et permet d’ajouter de nombreuses fonctionnalités pour éditer des fichiers dans un terminal.
On peut d’une certaine manière se rapprocher des fonctionnalités basiques d’un Visual Studio Code avec de la coloration du code par exemple. Il existe aussi un « émulateur Vim pour Visual Studio Code ». Vim fait ainsi office d’environnement de développement, pratique quand on est dans un terminal (via Putty par exemple).
Par des (gentils) nerds pour des nerds de tous les horizons
Sans grande surprise, « les TupperVim sont des évènements où l’on partage des connaissances et des astuces à propos de Vim ». Petit spoiler : la première astuce présentée est comment quitter Vim. Double spoiler : « :cq» ou « :wq » si vous voulez sauvegarder.
Mais les TupperVim c’est aussi (et surtout ?) autre chose. Ces réunions « s’inspirent autant des agapes maçonniques du troisième millénaire que des soirées tupperware des années 60. Tout un concept ». Sans oublier le plus important : « Passer un bon moment entre nerds, l’apéro faisant partie intégrante du concept ». On ne va pas se mentir, ce dernier point a commencé et fini de me convaincre de rester.